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22/06/2016

Entrons dans le temps transfiguré et respirons l’Esprit Saint


Dans son homélie du Dimanche de la Pentecôte 2016 ( Dimanche 19 juin) le Métropolite Michel Laroche nous propose de recevoir l’Esprit Saint présent dans cette fête en entrant dans le temps transfiguré qui nous unis au temps liturgique vécu par les Apôtres qui reçoivent l’Esprit Saint. Wladika nous montre que nous respirons dans le monde l’air pollué, pollution non seulement des images malsaines mais de tout ce qui encombre notre âme sans être pour autant des péchés : Soucis de ce monde, distractions prenantes, activités récréatives, travail, passion politique, lorsque cet ensemble asphyxie notre âme et la plonge dans l’oublie du Christ. Il nous faut alors comme par rapport à l’air pollué de la ville, faire un séjour à la montagne pour recouvrer notre bonne santé, la montagne spirituelle de la prière pour y recevoir le bon air de l’Esprit Saint. « Respirez l’Esprit Saint » est la parole universelle de Pères du désert. Et pour cela sur les conseil de Saint Séraphim de Sarov, invoquez l’Esprit Saint en prononçant à tout instant Jésus la prière du Nom de Jésus : « Seigneur Jésus Christ, Fils de Dieu , aie pitié de moi pécheur. » en alternant à la prière à la Très Sainte Mère de Dieu : « Très Sainte Mère de Dieu sauve-moi ».



02/06/2016
Dimanche de la Samaritaine: 
Le Christ révèle de ses plus grands mystères à une pécheresse



Lors de la Divine Liturgie célébrant le vingtième anniversaire du sacre épiscopal de Son Éminence le Métropolite Michel de Paris et de toute la France, il nous parle de sa vison de l’Évangile de la Samaritaine. Le Christ révèle à cette femme Ses plus grands mystères, sans attendre sa conversion et son repentir qui ne viendront qu'ensuite.

Cette Samaritaine deviendra une sainte immense d'ailleurs appelée par l'Eglise du Christ "égale aux Apôtres": sainte Photinie (Claire). 

Nous comprenons que l’Évangile s'adresse avant tout, selon la Parole du Christ : "aux malades et non aux bien portants; aux pécheurs et non aux justes" et que l'Eucharistie est inséparable de la confession des péchés.


25/04/2016

"La résurrection de Lazare dans notre vie" 



"La Paix du Christ par le pardon" 


"La Croix ou`la signification des épreuves dans la vie spirituelle"



"La prière et l'acquisition de l'Esprit Saint"






"Le Bon Jardin et le Mauvais Jardin"



"Préparer le Carême, monter sur le sycomore de la prière"



"Préparer le Carême, se préparer à pardonner"



Interview du Métropolite Michel Laroche à la télévision ukiranienne à propos des attentats du Bataclan à Paris






Son Eminence le Métropolite Michel (Laroche) de Paris et de toute la France du Patriarcat de Kiev nous explique dans son commentaire de la Parabole du Samaritain, que celui-ci dans la société juive à l’époque du Christ était considéré comme un hérétique suscitant la défiance, considéré comme une race maudite, pire que les Publicains, ces derniers bien que détestés, était juifs, et ils pouvaient prier dans le Temple. 

Wladika compare ce « Samaritain » en se référant aux derniers attentats qui ont frappé la France et la Russie, à un musulman d’aujourd’hui. Il nous dit que si nous voulons comprendre la porté de cette parabole, il faut remplacer le mot « Samaritain » si abstrait pour nous qu’il ne signifie plus rien dans son évocation désignant un étranger haï ou dans une moindre part infréquentable et suscitant la méfiance, par le mot « Musulman » (pas Arabe, car il y a des Arabes chrétiens souvenons-nous en !)

Le Métropolite Michel nous montre que c’est la compassion et l’amour de ce Samaritain de ce Musulman qui plus que son appartenance religieuse, l’unisse au Christ. Il nous rappelle que dans l’ une de ses lectures, un ouvrage édité au XIX ème siècle intitulé « Mes missions en Sibérie » écrite par un archimandrite Russe « Spiridon », qui relatait que la personne dans laquelle il avait vu d’une manière presque parfaite l’amour du Christ et qu’il avait rencontrer dans son grand périple, était un musulman, ! Alors qu’il avait croisé la route de nombreux moines, de prêtres et d’évêques qui ne rayonnaient pas de cet amour christique, comme ce Musulman. 

Il nous suggère de remplacer le Prêtre et le Lévite de la Parabole qui se détournent de celui qui est a demi mort étendu au bord du chemin, celui qui sent mauvais de la mauvaise odeur du péché, par un évêque ou un prêtre Orthodoxe ou Catholique, chacun enfermé dans sa morale qui juge et n’aide pas le pécheur. La compassion est le maitre mot de cette parabole.


Bien entendu le Samaritain représente le Christ qui porte sur sa monture ( l’Incarnation) l’homme à demi mort à cause de ses péchés, pour lui rendre la vie. C’est la notion de pardon qui nous greffe, nous les sarments, à la Vigne du Christ. L’homme blessé à demi mort auquel nous devons assistance, c’est celui qui nous a blessé par le péché, et c’est par le pardon que nous pouvons le guérir. Le pardon est le sang versé sur la Croix par le Christ qui circule dans toute la vigne, c’est la sève divine de l’amour. Lorsque dans la Parabole, le Samaritain confie à l’aubergiste l’homme blessé, il lui donne deux deniers ; Et il dit à l’aubergiste : « Ce que tu dépenseras en plus je te le rendrais à mon retour. » Son retour est le Jugement dernier, la Seconde venue du Christ. Les Pères de l’Eglise ont à juste titre expliqué l’Auberge come étant la figure de l’Eglise. Mais Wladika nous explique que l’aubergiste : « C’est toi ! C’est toi ! C’est toi ! ». Et que nous sommes tous appelé à « dépenser plus », à transformer ces deux deniers en mille deniers, par la compassion l’amour qui a son expression la plus forte dans le pardon et l’amour des ennemis.



"Vidéo de présentation"



Dans cette vidéo, le Métropolite Michel de Paris et de toute la France nous parle de l’Évangile du riche et du pauvre Lazare.Il nous invite, par le moyen du pardon à changer de regard sur l'autre.